La vallée de Cibin - axe structurant urbain qui reste aujourd'hui en friche entre la zone industrielle à moitie abandonnée et la ville du XIXème et XXème siècle. Elle a permis une approche bidirectionnelle au long et à travers la rivière, dans un essai de retisser une ville morcelée. On posait aussi le problème du patrimoine en tant que mémoire collective.

Le « Garden City » - a été le site dont la problématique tournait primordialement autour du patrimoine historique et de la constitution de la valeur socio-urbaine. Le quartier proposé pour une étude plus théorique est un territoire démontrant d'un mélange particulier entre le modèle idéal et le quotidien avec ses dynamiques croisées.

Le Théâtre d'été - est un espace entre deux, reliant le centre historique avec la ville moderne. Ses relations avec les territoires avoisinants sont brisées par des incohérences d'aménagement. Ce site constitue un exemple de fracture entre les différents niveaux spatiaux urbains (micro et macro) qui doivent être coordonnés.

Le Bastion - est un repère de la ville, un espace à la fois typique et extrême. Un bloc en béton, avec des cellules ou s'entassent des familles entières qui regardent la misère comme un passage inévitable vers une ville meilleure qui tarde d'arriver. La question de l'espace communautaire se pose ici en termes de ressource sociale, spatiale, fonctionnelle, symbolique/ et comme seule solution possible pour une situation qui semble rester sans issue.

La cour no. 16 - est un deuxième espace communautaire, lieu de passage entre la Piata Mare et les espaces privés qui se cachent derrière les murs. Entre quotidien, tradition, modernité et patrimoine, l'espace proposé pour l'étude est chargé de traces mais a aussi une forte dynamique socio fonctionnelle.